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Pierre Palmade se confie sur ce célibat qui lui pèse : “Mes couples n’ont jamais duré plus de six mois”

Dans un entretien accordé au Journal du Dimanche, le comédien dévoile comment il s’est apaisé, tout en avouant que le célibat lui pèse.

En ce moment, Pierre Palmade est un homme occupé. Le comédien est actuellement au Théâtre Montparnasse, dans Le Lien. Une pièce où un fils et sa mère se disent leurs quatre vérités. C’est à cette occasion qu’il a rencontré un journaliste du JDD. Un entretien au cours duquel on apprend que le scénario de cette pièce fait écho à sa propre vie. “La mère que joue Catherine est une ancienne employée des postes, alors que je suis issu d’un milieu plus ­intello bourgeois. Mais elle a de vrais points communs avec la mienne. Du genre à dire que si je tuais quelqu’un elle m’aiderait à cacher le cadavre…”, a-t-il confié, lui qui avoue ne pas être très famille et trouve les repas dominicaux “pesants”.

Une certaine distance vis-à-vis de sa famille, qui a débuté lors du départ de son père, lorsque Pierre Palmade n’avait que huit ans. Depuis, il est hanté par une peur de l’abandon, qui le handicape dans ses relations amoureuses. ” Hélas, mes couplesn’ont jamais duré plus de six mois (…) Du jour où je passe les clés à mon mec, l’attachement commence et c’est la panique. Ma psy sauvage me dit qu’aimer quelqu’un, c’est prendre le risque qu’on vous l’enlève”, a-t-il confié. Alors, ses “dimanches romantiques” sont passés à des “dimanches gris”, ” “seul entre Facebook et le lit” . “J’aimerais vraiment avoir un compagnon sur du long terme, ça doit être cool. J’ai déjà la maison et les chats, Achille et Hector, deux gros norvégiens”, déplore le comédien de 50 ans.

C’est justement cette maison, située à Milly-la-Forêt (Essonne) qui l’a aidé à se sentir apaisé dans sa vie. En effet, à 35 ans, il avoue avoir une “maladie nommée dépendance” aux soirées parisiennes, particulièrement aux after. Il a découvert dans cette ferme une passion pour le bricolage et les promenades au grand air, loin des pistes de danse. C’est dans ce calme qu’il relit d’ailleurs les épreuves de son autobiographie, Tout le monde finira par m’aimer (Harper & Collins). “Avec ce livre, je voudrais ­arrêter l’introspection, passer à autre chose. Si je retourne dans mon ancienne vie parisienne, ça ne va pas le faire”, conclut-il.

Crédits photos : Wyters Alban/ABACA

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