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Wonder Woman : James Cameron, toujours remonté contre le film, persiste et signe !

Un mois après la polémique, James Cameron n’a pas changé d’avis : Wonder Woman n’est pas un film novateur du point de vue du personnage féminin. Et il explique à nouveau son point de vue. De manière plus convaincante ? Pas sûr…

En août dernier, James Cameron n’était pas tendre avec le film Wonder Woman, créant une petite polémique en déclarant : “Toute l’autocongratulation dont Hollywood se tartine à propos de Wonder Woman est tellement trompeuse. Dans ce film, Wonder Woman est une icône objectivée. C’est juste le Hollywood masculin qui fait encore la même chose !” Il ajoutait même sur ce “retour en arrière” : Je ne dis pas que je n’ai pas aimé le film mais, pour moi (…) Sarah Connor n’était pas une icône de beauté. Elle était forte, elle était perturbée, c’était une mauvaise mère. Et elle a gagné le respect du public, malgré tout, par sa détermination et son courage. Selon moi, le bénéfice de personnages comme Sarah est tellement évident. Après tout, la moitié du public est féminin !” 

Piquée au vif, la réalisatrice Patty Jenkins s’était alors fendu d’une réponse cinglante sur son compte Twitter“L’incapacité de James Cameron à comprendre ce qu’est ou représente Wonder Woman pour les femmes partout dans le monde, n’est pas surprenante, car s’il est un grand cinéaste, il n’est pas une femme ! […] Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise femme de pouvoir. Et la vaste audience féminine qui a fait de Wonder Woman un succès peut certainement choisir ses propres icônes progressistes”.

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Un mois plus tard, le réalisateur de Terminator persiste et signe, quitte à faire à nouveau grincer les dents tout en précisant qu’il trouve que c’est un bon film : “Non, je n’ai pas changé d’avis” indique-t-il au Hollywood Reporter : “Je veux dire : [Gal Gadot] a été élue Miss Israël, elle porte dans le film une tenue et plus particulièrement un bustier qui mettent très en avant ses courbes. Elle est absolument superbe. Pour moi, ça, ce n’est pas novateur. Raquel Welch faisait la même chose dans les années 60.” Il la compare à nouveau avec son héroïne, Sarah Connor : “Linda [Hamilton] était très belle aussi. Simplement, elle n’était pas traitée comme un objet sexuel (…) Elle était complexe et dingue, elle ne cherchait pas à se faire aimer ou à se faire flatter.” 

Cameron a tenu toutefois à reconnaître une chose qui lui a plu : “Ma remarque était peut-être simpliste et je ne reviendrais pas dessus, mais j’aimerais ajouter que j’ai aimé le fait que, sexuellement, c’est l’héroïne qui domine le personnage masculin, et ça c’est amusant.” Amusant seulement ou novateur ? 

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