Le Bon, la brute et le truand ce soir sur France 3 : la fin d’une trilogie, Charles Bronson pressenti… Tout sur le film !

À l’occasion de la diffusion du Bon, la brute et le truand ce soir sur France 3, découvrez 5 anecdotes autour du western culte de Sergio Leone qui réunit Clint Eastwood, Lee Van Cleef et Eli Wallach !

De quoi ça parle ?
Pendant la Guerre de Sécession, trois hommes, préférant s’intéresser à leur profit personnel, se lancent à la recherche d’un coffre contenant 200 000 dollars en pièces d’or volés à l’armée sudiste. Tuco sait que le trésor se trouve dans un cimetière, tandis que Joe connaît le nom inscrit sur la pierre tombale qui sert de cache. Chacun a besoin de l’autre. Mais un troisième homme entre dans la course : Setenza, une brute qui n’hésite pas à massacrer femmes et enfants pour parvenir à ses fins.

1. Troisième volet

Le Bon, la brute et le truand est chronologiquement le troisième volet des aventures de l’Homme sans nom après Pour une poignee de dollars tourné en 1964 et Et pour quelques dollars de plus réalisé en 1965. On revient ici aux premières aventures de notre personnage. Ainsi, à la fin du film, il récupère le poncho qu’il ne quittait pas dans les deux long métrages précédents.

2. Clint dit non… puis oui.

Après une première lecture du script, Clint Eastwood refusa de participer au Bon, la brute et le truand avant de changer d’avis quelques jours plus tard. Trois ans plus tard, il refusera de tourner Il etait une fois dans l’Ouest, cette fois de manière défintive.

3. Charles Bronson pressentis

Charles Bronson avait été approché pour jouer le rôle de Tuco tenu par Eli Wallach mais le comédien s’était déjà engagé pour Les Douze Salopards. Sergio Leone dirigera l’acteur quelques années plus tard dans Il etait une fois dans l’Ouest. Gian Maria Volonte aurait aussi été contacté pour le rôle de Tuco.

4. A propos de la bande originale

Pour composer le célèbre air du Bon, la brute et le truand, Ennio Morricone se serait inspiré du cri de la hyène avec son énergie et son agressivité. Le morceau est repris à de très nombreuses fois dans le film comme une sorte de ponctuation du récit. Le compositeur est resté très célèbre pour ses musiques de film est notamment celles des westerns spaghettis.

5. Une post-production difficile

Lors de la sortie du film en 1966, les producteurs voulaient absolument un montage qui ne dépasserait pas les deux heures. La post-production dura huit mois et Sergio Leone, malgré les difficultés qu’il rencontra lors de cette étape, refusa de céder sur ce point. Le film durait 2h40 dans sa version internationale et presque trois heures dans la version italienne. Le Bon, la brute et le truand subit néanmoins de nombreuses coupes dans plusieurs pays à cause de la censure. La version anglaise du film ne durait ainsi que 2h28 à sa sortie.

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