Ce mercredi 18 septembre, Cyril Hanouna a demandé à ses chroniqueurs de Touche pas à mon poste de demander pardon à quelqu’un qu’ils ont blessé. A cette occasion, Eric Naulleau a souhaité revenir sur un épisode dont il n’est pas fier.

C’est avec beaucoup de sincérité qu’Éric Naulleau est revenu sur un épisode dont il n’est pas particulièrement fier. Ce mercredi 18 septembre, Cyril Hanouna était aux commandes d’un nouveau numéro de Touche pas à mon poste. Le trublion de C8 en a profité pour réclamer à ses chroniqueurs de demander pardon à quelqu’un qu’ils ont blessé. C’est donc auprès de Harry Roselmack qu’Éric Naulleau a souhaité s’excuser. « Il y a un épisode dont je garde un mauvais souvenir du temps où j’officiais à On n’est pas couché », débute-t-il.

Pendant quatre ans, ce dernier était en effet l’un des snipers de Laurent Ruquier, aux côtés d’Éric Zemmour. Le duo était alors réputé pour ne pas faire de quartier. Ce jour-là, le journaliste de TF1 venait faire la promotion de son roman, lui qui donne si rarement d’interviews. Sauf que le binôme de chroniqueurs n’a pas été tendre. « On l’avait quand même bien bien massacré. Et il l’a très très mal pris », se remémore le principal intéressé.

« C’est la seule fois où je suis allé voir quelqu’un en coulisses »

Éric Naulleau se souvient d’un Harry Roselmack très « affecté par les critiques – je crois même qu’il avait les larmes aux yeux ». Une réaction qui a touché le chroniqueur pourtant habitué aux clashs. « C’est la seule fois où je suis allé voir quelqu’un en coulisses (…) Quand je critique un bouquin, ce n’est pas pour faire de la peine à un auteur, j’essaye de faire mon métier honnêtement », assure Éric Naulleau, qui a donc tenu à réitérer ses excuses. « Mais là, j’ai vu que ça dépassé le cadre professionnel, ça devenait personnel et ça m’est toujours resté en mémoire et je regrette cet épisode. Donc je voudrais dire à Harry Roselmack que ça n’avait rien de personnel. Je suis désolé », lance-t-il.

Click Here: New Zealand rugby store

Retour en arrière. Nous sommes le 22 septembre 2007. Éric Naulleau ne cache pas son désamour pour Novilu, le roman de son invité. « Pour moi, c’est quelque chose que vous n’avez pas assez travaillé. Il y a beaucoup de phrases qui ne sont pas possibles, qui n’auraient jamais dû être dans votre livre tellement elles sont maladroites. Il faut tout reprendre je pense. Ce qui m’étonne, c’est que vous passiez d’un niveau de professionnalisme incroyable à un amateurisme total», lâche-t-il notamment.

Crédits photos : doc C8